FORBIDDEN SITE LYRICS
album: "Sturm Und Drang" (1997)
1. Ars Gallica2. Sérénade Macabre
3. Der Sieg Der Finsternis
4. Aurélia
5. Dark Embrace
6. Evanescence
7. Ars Vampirica
8. Renaissance Noire
9. Pleurs Nocturnels
1. Ars Gallica
[Poetry : Hugo /Arnault de Stael]
" Gloire à notre France éternelle
Gloire à ceux qui sont morts pour elle "
Dans l'enthousiasme et le remords
Qu'ils guident nos pas chaotiques
Au sein des flots mélancoliques
Et qu'enfin nous touchions l'Aurore
2. Sérénade Macabre
[Music : Romarik d'Arvycendres]
Make love with death ...
May the tears
Fathom the flesh
Caress my words
Drink of me
Swallow my tearful sight
My carnal sin
Erotic shade
Before the candlelight
Stay the same
Eternal grace
And dare to die tonight
May the night - Be thy grave
O moon - Thy priestess
Stars - Thy cortege
Thunder - Thy requiem
O grace - come to me
Undead - Soon to be
Make love with death
Des visages de femmes
Meurtrières assouvis
Sans sourires ni larmes
Conduiront mon esprit
Come to where
Life and Death
Shall forever collide
Remain pure
Remain dark
Make one with the night
Far away
Far apart
Swear to be my promise
Remain pure
Remain dark
Thy earthly life falter
Meurs, désespère !
Que tes pleurs me consolent
Cour considère,
La nuit comme une aurore
Possède le privilège
De caresser encore
Les délices charnels
Amorçant notre envol ...
[Poetry : Arnault de Stael]
3. Der Sieg Der Finsternis
[Poetry : Arnault de Stael]
[Music : Romarik d'Arvycendres]
"Et nox facta est"
poème de Victor Hugo
" Depuis quatre mille ans il tombait dans l'abîme
Il n'avait pas encor pu saisir une cime,
Ni lever une fois son front démesuré.
Il s'enfonçait dans l'ombre et la brume, effaré,
Seul, et derrière lui, dans les nuits éternelles,
Tombaient plus lentement les plumes de ses ailes.
Il tombait foudroyé, morne silencieux,
Triste, la bouche ouverte et les pieds vers les cieux,
L'horreur du gouffre empreinte à sa face livide.
Il cria : - Mort! - les poings tendus vers l'ombre vide.
Ce mot plus tard fut homme et s'appela Caïn.
Il tombait. Tout à coup un roc heurta sa main;
Il l'étreignit, ainsi qu'un mort étreint sa tombe,
Et s'arrêta.
Quelqu'un, d'en haut, lui cria : - Tombe!
Les soleils s'éteindront autour de toi, maudit! -
Et la voix dans l'horreur immense se perdit.
Et, pâle, il regarda vers l'éternelle aurore.
Les soleils étaient loin, mais ils brillaient encore.
Satan dressa la tête et dit, levant ses bras :
- Tu mens! - Ce mot plus tard fut l'âme de Judas.
Pareil aux dieux d'airain debout sur leurs pilastres,
Il attendit mille ans, l'oil fixé sur les astres.
Les soleils étaient loin, mais ils brillaient toujours.
La foudre alors gronda dans les cieux froids et sourds.
Satan rit, et cracha du côté du tonnerre.
L'immensité, qu'emplit l'ombre visionnaire,
Frissonna. Ce crachat fut plus tard Barabbas.
Un souffle qui passait le fit tomber plus bas. "
Gloria victis Lucifer !
Gloria victis Lucifer !
Comme un ange crucifié
Glissant vers l'onde pâle
Ses yeux clos sous le ciel
Caressent les étoiles
[Refrain:]
Oh scarlet sunset
Fleeting delight
Lest I regret
Chasten my heart
Et son corps se balance
Au grès des vents s'efface
Elle chavire elle avance,
Plus près du bord, hélas !
[Refrain]
Sa peau nacrée liliale
Que l'ambre défigure,
Sa mort, Dieu, la morale
Amorce la morsure
[Refrain]
Un nom froid souvenir
Ensanglanté s'éveille
Tu seras mon exil,
Barbara de Cillei !
[Refrain]
"Et nox facta est"
J'ai dans le sang l'essence
De ceux de ma race,
Je porte en mon esprit
L'héritage des Daces !
4. Aurélia
[Poetry : Arnault de Stael]
[Music : Romarik d'Arvycendres]
L'édifice s'effondre
Et le ciel me condamne
A rejoindre la tombe
Que mes rêvent profanent
Je sombre dans l'étreinte enivrante du soir
Comme on noie dans l'absinthe le reflet d'un regard
Les flots lourds de la Seine
Accompagnent mes pas
Et le chant des sirènes
Me fait glisser vers toi
Elle s'élève lascive
Caressant les nuages
Puis d'un geste dérive
Pour éviter l'orage
Qu'elle amorce en moi
Réalité futile
Ô délivre-moi
De l'angoisse et du vide
Le rêve s'entrelace à la vie
Ma vie s'entrelace aux rêves
Souffrance, épargne-moi
Ô mon Amour
Que la mort soit douce, éternelle
Emmène-moi
Sous la nuit d'argent
Descend encor au plus profond
Ou même les nuits se fanent
Afin que d'un rayon diaphane
Au sein du néant sur ton front
S'éclaire un nouveau lendemain
Brûle tes larmes divin poète
La peine sera pour ceux qui restent
Ouvre ton âme et prend ma main
Souffrance, épargne-moi
Ô mon Amour
Emmène-moi
Sous la nuit d'argent
Viens !
Eurydice, un soleil s'illumine
Ténèbres...
Ô Béatrix, guide mes pas
Freya, divine reine
Je viens vers toi
Je viens vers toi
Aurélia
"Ô mort ! Où est la victoire ?"
5. Dark Embrace
[Poetry : Arnault de Stael]
[Music : Romarik d'Arvycendres]
The frozen crypt is silent ...
As only a grave can be
Endless I live in vain
Roused from my funeral sleep
My untbriven vault is wide
Under the cold winterly sky
Drawn from the eternal dream
I already learn for death
Another wine flushes my veins
And drives me out my grave
My swaddling clothes are of black silk
And my cradle is made of stone
The gothic cemetery crypt
Kisses the scarlet lips of life
From thence I came hither again
For a silhouette through the unlight...
...From beyond the grave
La crypte froide est silencieuse
Comme seule peut l'être une tombe
Sans fin j'existe en vain
Profanant mon sommeil funèbre
Mon triste caveau s'ouvre à la vie
Sous un ciel d'hiver glacial
Arraché aux rêves éternels
J'aspirais déjà à la mort
Clad with a dress of mourning
A leaden beauty arose
Her silken hair lightly floating
She came beside my bed of stone
In a summoning charm
Made of divine progeny
She kissed me with saddened eyes
-"Follow me !" - I follow thee
You shall dwell here eternally
Between the dead and the living
To forever my funeral bride
6. Evanescence
[Poetry : Arnault de Stael]
[Music : Romarik d'Arvycendres]
Triste et belle lueur
Qui d'un souffle s'endort
Vacillant faiblement
En attendant l'aurore
Son cour est une mèche
Que son âme consume
D'espoirs qui s'achèvent
Dès les premières brumes
Je me retrouve en elle
Car sa vie n'est qu'un pleur
Qu'importent les raisons
Maintenant que vient l'heure
Adieu nuits désolés
Aux sombres clairs de Lune
Adieu parfum d'orage
Aux saveurs nocturnes
En guise de souvenir
Ô sombres paysages
Je garderai en moi d'éternelles images
Des visages de femmes
Meurtrières assouvis
Sans sourires ni larmes
Conduiront mon esprit
Vous daignerez laisser
En un geste fidèle
Sur ma dalle glacée
Un bouquet d'immortelles
Et vous cher compagnon
Qui fûtes plus que frère
De mes noirs édifices
Conservez quelques pierres
De nos oeuvres sinistres
Poursuivez les travaux
Et qu'au-dessus des autres
Brillent encore nos joyaux
Cierge pâle tu n'es plus
Qu'un volute, un parfum
Expirant vers les cieux
Un nouveau lendemain
A l'instant où je meurs
Et regarde en arrière
J'aperçois dans mon cour
Un semblant de lumière
7. Ars Vampirica
[Poetry : Arnault de Stael]
[Music : Romarik d'Arvycendres]
Le pentagramme uni
Nos âmes en un seul être
En relation intense
Treize cierges illuminent
Sur l'autel de marbre
L'aura noire du caveau
De ta poitrine pâle
Laisse pleurer la vie !
Exhibe ainsi tes charmes
Du vin originel
Sur ta peau nue je trace
Sept abysses charnels
Embrasse mon corps
Dans l'extase de la nuit
Donnons corps
A celui qui demeure...
ORIENS
PAYMON
ARITON
AMAYMON
Sanguis-Vita
Ars Vampirica
Ad aeternam
Ô, Oriens Paymon Aviton
Amayamon
Embrasse mon corps
Dans l'extase de la nuit
Donnons corps
A celui qui demeure...
The sullen solstice morn unfolds the sombre veil
An obscure hymen torn by a diaphanous blade
Shade my soul asunder whilst I meander lone
"Why should I have to weep for death he wasn't born"
Harken Venus hither and thither from the dust
Of the graves I emerge my nocterotic lust
Doth make them crawl to me through the ebony light
Cartharsized by the wine that ...
Oh ! Flushes my heart
8. Renaissance Noire
[Poetry : Arnault de Stael]
[Music : Romarik d'Arvycendres]
Des ténèbres où je règne
Seul et déshérité
Ô triste Lucifer
Accorde moi la paix
Les anges m'ont délaissé
Recueilli par les ombres
Je ne suis qu'un regret
Errant parmi les tombes
Des tombeaux insondables
De mystères et d'errances
Un sinistre remord
Mène mon âme au néant
J'ai forgé par le sang
Des autres mon destin
Où s'achèvent leur vies
Où je poursuis la mienne
Isolé dans mes souhaits
Amertume sans fin
Ô froide éternité
Douloureuse compagne
Daigne alors me suivre
Et fondre nos orages
En de passions exquises
Par l'Art et par le Sang
Ô pure transcendance
Est-ce mon sang qui te glace ?
Ce vin triste et amer
Glissant sur ton suaire
Ouvre les yeux mortels
Diadèmes emplis d'effroi
Et goûte à l'anathème
Qui te damne, hélas !
Et sous la Lune émeraude
Hurlant jusqu'à la mort
Une nuit éternelle
Condamné à rester
Tu quitteras ton linceul
Et comme moi tu aimeras
La froideur de la nuit
Et les beauté macabres
Eleison Luna
Libera Lucifer, Animas, Lucifer,
Defunctorum !
Aither Omnia Vincit
Aither Omnia Vincit
ELEISON LUNA
9. Pleurs Nocturnels
[Poetry : Arnault de Stael]
[Music : Romarik d'Arvycendres]
[I. Spleen]
My bleeding heart on the altar
Shall forever be dark
Under a moonless night I lay
Embraced by the unlight
Oh my sweet fleeting illusion
You cast my dreams away
Trough the valleys of oblivion
I wander with dismay
Can I find in disillusion
A dark elevation
Can I see in my bleeding heart
A worthless emotion
Oh death intenser
My crestfallen love
Pain is love highmeed
My everlasting loss
Unfolding a masquerade of grims
All hope died in myself
And thus ended the latest dream
That I have ever dream
Can I find in disillusion
A dark elevation
Can I see in my bleeding heart
A worthless emotion
Oh death intenser
My crestfallen love
Pain is love highmeed
... To forever lost...
-Follow the dark aspect of life
(it's now the only light)
Under a dying sun
Come glorify to the dark
... Nemesis come to me !
[II. Renaissance]
Make me die and reborn in a fleeting wisp of haze
Oh goddess of the night wistful nocturnal bride
Lead me to the everlasting and forgotten domains
Of knowledge and beauty to glorify the dark!
Amongst the stones sites of angels and all sad creatures
Give me the thirst give the will to forget my anguish
And build with all my grieves a cathedral of tears
For eternal lovers to glorify the night
[III. Awakening]
The anachronical facades of my consistency
Sad reflect of a spiritual isolation
Oh myriads let us gather children of tragedy
Oh myriads legions of tears for the final oration
- Let us drink the tears flowing from my eyes -
Let us drink the blood flowing from my arms
[IV. Ideal]
Ô désir ardent
Bois ce sang vermeil qui jaillit de mes veines
Et s'offre à ta gorge profonde
Et goûtons ensemble
A l'immortelle errance
En purifiant nos âmes
Par cette divine essence
Qui nous mènera là
Où rien ne s'achève
Sous des pleurs d'extase
Esclavages nocturnels
N'ayant d'égal que la nuit.
Thanks to camille.g for sending these lyrics.
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