TAGADA JONES LYRICS
album: "Le Feu Aux Poudres" (2006)
1. Cargo2. Th�rapie
3. La Rel�ve
4. Combien De Temps Encore
5. Cauchemar
6. Monsieur
7. Pavillon Noir
8. Soleil De Feu
9. Kamikaze
10. Le Drapeau
11. �pid�mie
12. Le Feu Aux Poudres
13. Ensemble (La Phaze)
14. Le Drapeau (Shane Cough)
15. A Qui La Faute (Bionik Dread)
16. Combien De Temps Encore (Guizmo)
1. Cargo
Un gigantesque cargo poubelle
Perdu dans une mer d�cha�n�e,
Sous l�effet de la houle,
Commence � c�der,
May day, May day, � deux doigts de couler,
d�j� trop tard, c�est avant qu�il faut s�inqui�ter
L�or noir commence � couler � flot,
C�est peut-�tre pas nouveau, mais encore une fois de trop
Et qui fera l�effort de se baisser encore,
Pour ramasser par pelle, vos putains de poubelles
On ira tout torcher quand m�me,
Car cette terre en vaut bien la peine,
Malgr� le vent, malgr� la temp�te,
Nous balayerons la merde de notre plan�te!
On ne le fera s�rement pas pour vous,
Ni pour une m�daille, ni pour un sou,
Croyez-le ou pas, malgr� vos avocats
Un beau jour on vous le rendra!
Un beau jour on vous le rendra!
L�id�e du pollueur, payeur,
Utopie qui nous pla�t bien,
Mais nous ne sommes pas assez fous
Pour croire en tous vos baratins,
A chaque fois c�est pareil,
un peu d��motion t�l�vis�e,
Et quelques paroles en l�air
Devraient suffire � nous calmer.
A chaque fois c�est pareil,
Un peu d��motion t�l�vis�e,
Et quelques paroles en l�air,
Devraient suffire � nous calmer..
On ira tout torcher quand m�me,
Car cette terre en vaut bien la peine,
Malgr� le vent, malgr� la temp�te,
Nous balayerons la merde pour notre plan�te!
On ne le fera s�rement pas pour vous,
Ni pour une m�daille, ni pour un sou,
Croyez-le ou pas, malgr� vos avocats
Un beau jour on vous le rendra!
2. Th�rapie
Vision atroce, un corps nu sans vie,
Souill� de sang, de foutre et de suif,
G�t au fond d�une cave cr�pie,
De sueur, d�horreur, de larmes et de cris.
Menotte au poing, l�assassin,
L�instigateur, le t�moin,
Rejoue la sc�ne avec pr�cision,
Acte par acte, sa perversion,
Loin du simple ali�n�,
Ces faits et gestes sont calcul�s,
Pr�par�s avec minutie,
Jusqu�au bout de l�ignominie,
Telle une machine � tuer,
Une m�canique � pers�cuter,
Il accompli pas � pas,
Les �tapes de ses �bats.
On le traitera pendant des ann�es
A coups de camisoles, de simagr�es
Puis le temps, fera son effet,
Pour que le loup devienne un agneau parfait.
C�est l�heure d�une nouvelle proph�tie de foi,
Des remords, des regrets et du d�sarroi,
Les experts valident sa lib�ration ,
Sans h�sitation,
Puis le cercle recommence,
Spirale d�une d�mence,
Les drogues n�ont ni la saveur ni la transe
D�un acte de jouissance,
Rien ne peut plus l�arr�ter,
Cette fois, c�est d�cid�,
Il s��tait pourtant jurer
De ne plus jamais recommencer,
On le traitera pendant des ann�es
A coups de camisoles, de simagr�es
Puis le temps fera son effet,
Pour que le loup devienne un agneau parfait
Mais le sc�nario n�envisage pas
Que l�histoire recommence � chaque fois,
Que la seule odeur d�une proie aux aguets,
R�veille l�animal � tout jamais!
3. La Rel�ve
Y�en a vraiment assez, de devoir supporter,
Vos tonnes et vos tonnes d�id�es, � longueur de journ�e,
Moul�es dans les cendres de vos traditions,
�lev�es � la trique et � coup de b�ton.
Y�en a vraiment assez, de devoir supporter,
Vos carri�res, votre pognon, et toutes vos contradictions,
Y�en a marre d��tre toujours le petit dindon,
Attention car la farce est en train de tourner en bouillon!
Maintenant c�est � nous de mettre l�image
De la couleur et du son dans le paysage,
Et m�me si vous croyez qu�on est tous d�gonfl�,
Nous allons vous prouver que nous pouvons gagner!
Tour � tour chacune de vos r�gles � la con,
Vont sauter comme on fait p�ter les plombs,
Main dans la main,
Peut-�tre jeunes et cons
Main dans la main
C�est s�r nous y arriverons!
Le temps passe, la terre continue de tourner,
Que de paroles, toujours pas de nouveaut�,
Ca fait des ann�es qu�on subit sans broncher,
Mais l�heure de la rel�ve vient enfin de sonner!
Maintenant c�est � nous de mettre l�image
De la couleur et du son dans le paysage,
Et m�me si vous croyez qu�on est tous d�gonfl�,
Nous allons vous prouver que nous pouvons gagner!
Tour � tour chacune de vos r�gles � la con,
Vont sauter comme on fait p�ter les plombs,
Main dans la main,
Peut-�tre jeunes et cons
Main dans la main
C�est s�r nous y arriverons!
Il est trop tard pour contr�ler la col�re,
Faire demi-tour ou revenir en arri�re,
Vos ann�es sont pass�es, vous avez tout g�ch�!
Le futur est � nous, on ne va pas s�en priver!
4. Combien De Temps Encore
Que de beaux discours, de belles paroles et de mots d'amour,
Mais derri�re les petits fours, les vautours cachent un compte � rebours
Gagner, gagner toujours plus, et l� plus question d'amis,
C�est l'univers capitaliste, royaume hypocrite de l'industrie!
Sans aucun remord, pendant que le monde se meurt chaque jour,
ils crament leur putain d'argent, le diss�minent au gr� du vent,
Tout �a pour briller sur des yachts flambants neufs,
au large d'une plage dor�e, faite de p�tasses et de palmiers
Allez-vous rester les bras crois�s, � regarder le monde crever de faim
Des enfants vous supplier de ne plus bombarder pour rien,
Des milliards de malheureux pour le seul plaisir de vos yeux
M�me si vous les ignorez, moi je ne vois qu'eux!
Arr�tez, Arr�tez de pr�ner l'amour, la gloire et la beaut�,
notre putain de monde n'est fait que de mis�re et de pauvret�,
pendant que la bourse vacille aux rythmes des guerres et des paix,
c'est l'ensemble du globe qui entretient sa saintet�!
5. Cauchemar
Je ne veux ni m�en aller, ni quitter ce quartier
C�est ici que je suis n�, pas question de l�abandonner
Je ne veux pas partir, et pas question de fuir,
Ce que je veux c�est m�en sortir,
Vivre libre ou mourir!
Personne n�a le droit, de se jouer de moi,
Je suis du sexe faible et � vous regarder �a se voit,
Je ne veux pas br�ler vive sous vos yeux,
Mais je pr�f�re crever que de m�en remettre � votre dieu!
Je ne veux pas non plus, �tre l�esclave de ces messieurs,
La boniche � tout faire, une machine � laver d�enfer,
�tre le jouet de plaisirs �rotiques,
Le fruit de fantasmes toujours � sens unique!
Moi ce que je veux c�est ne plus courir,
Vivre � mon allure, ne plus raser de murs,
Moi ce que je veux, c�est m�en sortir,
Et j�esp�re bien qu�un jour ce cauchemar va finir,
Enfin pouvoir me r�veiller un peu,
Regarder le monde, ouvrir les yeux,
Juste pouvoir profiter un jour,
Et par dessus tout ce que je veux, c�est juste qu�on m�aide un peu!
Mais au lieu de �a, ce qu�on m�envoie
N�est fait que de cars de police, de sir�nes et d�autistes,
Et pendant ce temps l�, ce que je vois,
Juste en bas de chez moi, n�est fait que de peur et d�effroi
Vous pouvez compter sur moi,
Je vais me battre et ne pas baisser les bras,
Ce qui est s�r, que j�y arrive ou pas,
C�est que ce sera sans jamais avoir re�u aucune aide de l��tat
6. Monsieur
Monsieur n�aime pas les gens heureux,
Monsieur n�aime pas non plus les amoureux,
Il ne fait rien, que m�dire,
C�est s�r, c�est bien plus facile que d�agir,
Il ne prend pas de risques, ne se trompe pas,
A toujours su baisser les bras,
Bien s�r question d�lation,
C�est le king des king de tous les champions,
Monsieur n�aime pas non plus se m�langer,
Offrir, donner ou partager,
Il veut juste para�tre aux yeux des gens,
Se mettre en valeur le plus souvent,
Individuel, �go�ste,
De gauche, de droite, voir m�me raciste,
Monsieur aime son canap�, ses pantoufles et sa putain de t�l�!
Il habite un peu partout, s�rement pas loin de chez vous!
A c�t�, n�importe o�, en dessus, en dessous,
A quelques pas il se cache, pour vous �pier en l�che,
Il habite un peu partout, s�rement pas loin de chez vous!
A c�t�, n�importe o�, en dessus, en dessous,
Et � la moindre occasion,
Vous prouver qu�il est con!
Fini le temps des audaces, voici le face � face,
Oh grande surprise, notre monsieur s�efface,
Il s��vanouit sans laisser de traces
Puis dispara�t devant la menace.
Fini les mots assassins du jour au lendemain,
Fini les coups au plafond, fini les p�titions,
Monsieur, trop bon,
Baisse son pantalon!
Il habite un peu partout, s�rement pas loin de chez vous!
A c�t�, n�importe o�, en dessus, en dessous,
A quelques pas il se cache, pour vous �pier en l�che,
Il habite un peu partout, s�rement pas loin de chez vous!
A c�t�, n�importe o�, en dessus, en dessous,
Et � la moindre occasion,
Vous prouver qu�il est con!
7. Pavillon Noir
Stupeur, horreur, vent de panique sur la terre
Au c�ur d�une des plus grandes, des plus hautes sph�res,
Un forcen�, d�cha�n� vient de s�emparer,
D�un �norme big boss et de tous ses laquais.
Arm� jusqu�aux dents, pr�t � tout faire exploser
Pas d�gonfl�, il commence � revendiquer,
Lueur d�espoir dans les cercles du pouvoir,
Le nouvel illumin� commence � n�gocier
Forcement, au d�but, on le prend pour un con,
Lui et sa r�volution,
Au fur, � mesure des revendications,
Tout le monde change de camp,
Il n�est pas aussi fou, qu�on veut bien le montrer,
Dans cette salope de t�l�,
Lui veut juste le droit, qu�on le voit qu�on le croit
Putain qu�on l��coute pour une fois,
Prise d�otage au pouvoir,
Pour hisser le pavillon noir
Solidarit�, r�int�gration,
Abrogation des d�cisions!
Prise d�otage au pouvoir,
Pour hisser le pavillon noir
Que leur pognon cr�ve les �ill�res de l��tat
Que le peuple vive comme il se doit!
Notre anarchiste savoure son coup d��clat,
Diffusion au grand jour, mini coup d��tat,
Les mati�res grises pr�parent d�j� dans son dos son assassinat,
Pourtant lui voulait juste le droit � la parole rien qu�une fois.
8. Soleil De Feu
L�homme d�couvre un jour au terme de combinaisons
La puissance incroyable de quelques �lectrons,
Suite � d�innombrables r�actions
Il vient de mettre au point, une arme de destruction
Il baptisera cette d�couverte scientifique,
Sous le nom sordide de bombe atomique,
Imaginera des tonnes et des tonnes d�applications,
Et choisira bien s�r la pire des solutions
Un soleil de feu suit juste la d�tonation,
Et d�cime l�ensemble de la population,
En quelques secondes, br�l�s par des milliers de degr�s,
Sur quelques kilom�tres, volatilis�s
L�horreur � chaque coin de rue,
Des femmes et des enfants disparus,
Victime de la folie humaine,
D�une impitoyable r�action en cha�ne!
Personne ne peut relater cette infamie,
L�horreur est telle, qu�aucun mot ne suffit
Les reporters vomissent leurs investigations
Une tel massacre ne porte pas de nom
Un soleil de feu suit juste la d�tonation,
Et d�cime l�ensemble de la population,
En quelques secondes, br�l�s par des milliers de degr�s,
Sur quelques kilom�tres, volatilis�s
L�horreur � chaque coin de rue,
Des femmes et des enfants disparus,
Victime de la folie humaine,
D�une impitoyable r�action en cha�ne!
Et devinez qui?
D�truit toujours avant l�amnistie!
Et devinez qui?
Est assez fou pour se jouer de milliers de vies!
Une fois de plus je nommerai le petit yankee
Ma�tre du monde et de la connerie!
Il n�a pas h�sit� � faire couler le sang,
Pour stopper les kamikazes d�antan,
Qu�est ce qui pourrait bien r�ussir � l�emp�cher,
Un jour ou l�autre de recommencer?
Il est bien loin le souvenir de l�esclavagisme r�volu,
Aujourd�hui tu sais bien qu�on en parle plus!
Ton histoire est souill�e par un sombre pass�,
Et j�esp�re bien que notre futur n�en sera pas tach�!
9. Kamikaze
A l�aube d�une belle matin�e,
Une jolie jeune fille aux cheveux boucl�s,
Sort de ses r�ves pour commencer sa journ�e,
Dans la douceur d�un petit nid douillet,
Dans la chaleur d�un foyer banal � souhait.
Du haut de ses 8 ans, elle s��veille � ses d�pends,
S�offre � la vie, d�couvre peu � peu les gens,
Elle imagine, la plan�te belle, pleine d�amour,
Mais ne comprend pas toujours ce monde qui l�entoure,
D�j� coquette, elle prend bien soin de se pr�parer,
Pour cette journ�e shopping qu�elle a tant r�clam�e
Pomponn�e, ses 2 parents � ses c�t�s
elle quitte le domicile pour le c�ur des hostilit�s.
Il faisait beau ce jour l�, il a fait chaud puis froid
Les oiseaux ont chant�, puis se sont arr�t�s,
Ca sentait la ros�e et le soufre a gagn�,
Un kamikaze a saut�, notre famille � ses c�t�s..
Et pour la gloire de je ne sais quel connard,
On ose encore lui demander de tout pardonner [x2]
Je veux bien que l�on croit
En quelque chose ou en quelqu�un
Pas de probl�me,
Il y a des tonnes et des tonnes de chemins,
Mais quel abruti peut bien demander � ses chiens,
D�aller sauter aux pieds de n�importe quel citoyen?
Il faisait beau ce jour l�, il a fait chaud puis froid
Les oiseaux ont chant�, puis se sont arr�t�s,
Ca sentait la ros�e et le soufre a gagn�,
Un kamikaze a saut�, notre famille � ses c�t�s..
10. Le Drapeau
Qu'ils soient verts, jaunes ou bleus, tout �a nous importe peu
Qu'ils soient laids qu'ils soient beaux, faits d'�toiles ou de logos,
Rares sont ceux qui ne sont pas salis, souill�s par le sang d'anciennes trag�dies,
A la m�moire de nos fr�res victimes d'un fl�au, on chie sur la couleur de vos drapeaux!
Trop de traditions, de convictions, de patriotes ou de r�pressions
Trop de dictats et de religions,
On ne veut plus de clans, de bons, de m�chants,
On ne veut plus de noirs, on ne veut plus de blancs,
Plus de militaires ni de fronti�res
Quelque soit le teint de nos pauvres peaux,
On crache � la face de vos id�aux,
On ne craint ni les menaces ni le chaos,
Nous sommes le futur et vous que des mots,
A la m�moire de nos fr�res victimes d'un fl�au, on chie sur la couleur de vos drapeaux!
Femmes et enfants arrachent des cris,
D�capit�s, viol�s par les ennemis de la vie?
Au nom de quoi, au nom de qui?
pouvons-nous laisser faire de telles infamies?
Quelque soit le teint de nos pauvres peaux,
On crache � la face de vos id�aux,
On ne craint ni les menaces ni le chaos,
Nous sommes le futur et vous que des mots,
A la m�moire de nos fr�res victimes d'un fl�au, on chie sur la couleur de vos drapeaux!
11. �pid�mie
Il est tard et le verdict vient de tomber,
La libert� sera guillotin�e,
Poignard�e dans le dos par la politique,
Enivr�e, �tourdie par les lois du fric!
La r�publique ne r�pond plus de rien,
Se joue de l��thique comme de nos destins.
S�ils continuent � trop vouloir en faire,
Ils risquent fort, de finir par nous mettre en col�re!
Je l�ve mon doigt contre cette �pid�mie,
Tendu bien haut aux � progr�s de la vie �
A cette science, qui ne soigne ni ne gu�rit,
Mais bafoue les r�gles de la d�ontologie,
Fini de vivre sans laisser de traces,
Ne comptez plus que l�histoire s�efface,
L�avenir va transformer nos pass�s en donn�es
Qu�ils finiront bien par nous implanter!
Imaginez ce que va devenir votre vie,
Lorsque un simple inconnu d�un double clic sur une souris,
Percera vos secrets les plus enfouis,
Esquissant un sourire en feuilletant votre vie,
Fini les conneries,
L�heure est � la transparence mes amis,
Ce n�est peut-�tre que moi qui vous le dit,
Mais elle ne touche trop souvent que les plus d�munis!
Je l�ve mon doigt contre cette �pid�mie,
Tendu bien haut aux � progr�s de la vie �
A cette science, qui ne soigne ni ne gu�rit,
Mais bafoue les r�gles de la d�ontologie,
Fini de vivre sans laisser de traces,
Ne comptez plus que l�histoire s�efface,
L�avenir va transformer, nos pass�s en donn�es
Qu�ils finiront bien par nous implanter!
12. Le Feu Aux Poudres
J�ach�te, je revends, tous les risques � mes d�pends,
Et �a m�est bien �gal, ce qui est bien ou mal!
Je veux gagner, prouver au monde entier,
Que m�me de nos cit�s, on peut tous vous niquer!
Les lois s�curitaires, du petit dignitaire,
Ne pourront rien changer � notre volont�,
Nous allons tout casser, piller, voler
Tout ce que vous avez, � nous d�en profiter!
Vous avez mis le feu aux poudres,
En nous parquant comme des damn�s,
Et maintenant ne venez pas pleurer, on r�colte toujours ce que l�on a sem�
Nous sommes des dizaines, des centaines, des milliers, et nous voulons aussi jouir,
Vivre jusqu�� s��vanouir, croquer � pleines dents la vie,
Tous nos espoirs naissent o� commencent vos ennuis� [x2]
Vous avez voulu, nous en mettre plein la vue,
Pr�ner les paillettes, les strass et la f�te,
Mais votre sens de la fraternit�,
Permettez-nous un peu d�en douter!
Ok pour un monde � deux vitesses,
Nous la rue, vous les forteresses,
Mais au jeu du chat et de la souris,
Il n�y a pas de r�gle, tout est permis!
13. Ensemble (La Phaze)
14. Le Drapeau (Shane Cough)
15. A Qui La Faute (Bionik Dread)
Elev� au jus de major de promotion,
ta vie oscille entre le sexe et l'ambition,
2, 3 films par an, juste pour faire semblant,
une pointe coca�n�e juste pour t'amuser.
Tu joues les cadors, tu harc�les, m�content
tu abuses toujours plus de ton rang,
tu profites l�chement de la faiblesse des gens
Pour nourrir ton ego, tu augmentes le tempo
Avant d'agir maintenant r�fl�chis bien, derri�re chaque num�ro se cache un destin,
J'ai quelques bouches � nourrir, j'ai aussi un chemin
et j'ai l'impression qu'il est en train de croiser le tien!
J'en ai trop vu, j'en ai trop pris, je t'affirme droit dans les yeux maintenant c'est fini,
oublie-moi, respecte-moi, merde ferme-la, ou une faute grave va vite s'�craser sur toi!
Des tas de beaux dipl�mes, des chaussures bien cir�es,
Papa et maman tous les dimanches � manger,
Une belle voiture, un joli canap�,
Et plein de petites fourmis que tu exploites � souhait.
juste pour t'amuser
Avant d'agir maintenant r�fl�chis bien, derri�re chaque num�ro se cache un destin,
J'ai quelques bouches � nourrir j'ai aussi un chemin et j'ai l'impression qu'il est en train de croiser le tien!
J'en ai trop vu, j'en ai trop pris, je t'affirme droit dans les yeux maintenant c'est fini,
oublie-moi, respecte-moi et merde ferme-la, ou une faute grave va vite s'�craser sur toi!
16. Combien De Temps Encore (Guizmo)
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TAGADA JONES LYRICS
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